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Numérique Vital : quand l'exclusion numérique prive de soins essentiels
Entretien avec Amandine Blondet de la CRESS AURA
Dans cet épisode, nous retrouvons Amandine Blondet, Chargée d’Études Opportunités Sectorielles à la Chambre régionale de l’Économie Sociale et Solidaire Auvergne-Rhône-Alpes (CRESS AURA).
Amandine alerte sur une des conséquences dramatiques de l’éloignement du numérique : les restrictions d’accès aux soins médicaux. Elle explique également comment la CRESS et les associations peuvent agir pour contrer les effets de ce phénomène.
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Transcription :
Quel message voulez-vous faire passer ?
Oui alors la CRESS, juste pour donner très rapidement le contexte. Voilà, nous, on est dans la chambre régionale de l’économie sociale et solidaire et l’on est là pour représenter, fédérer, accompagner toutes les structures de l’ESS. Et, ça, ça passe par différentes entrées, une entrée territoriale, mais aussi une entrée thématique. Et, nous, le numérique durable, c’est un chantier, si je peux appeler ça comme ça, sur lequel on est depuis 2021.
D’abord, par une entrée environnementale, mais on essaye aussi de développer l’entrée sociale. Et, c’est vrai que là, cette année, on s’est un peu plus accentué là-dessus. On a eu un autre événement avec Malakoff Humanis. Et, du coup, pour nous, c’était très intéressant aussi d’être en partenariat, voilà, sur cet événement, sur le côté plus inclusif finalement et pas qu’environnemental. Et, puis aussi être là, pour nos adhérents, nos futurs adhérents et puis voilà, faire du réseau, se faire aussi connaître.
Et, puis bien rappeler qu’on est là pour accompagner et puisqu’on travaille sur le numérique, qui est une thématique très importante aussi en ce moment et qui a amené à beaucoup se développer.
Quel a été votre plus gros challenge lié à une situation concrète de numérique inclusif ?
Très bonne question au niveau de la CRESS, au niveau numérique inclusif. On a eu plusieurs événements, on a eu la création d’un GT et je dirai que peut-être le plus gros challenge, finalement, c’est de toucher toutes les dimensions, toucher à la fois la dimension territoriale, la dimension démographique et la dimension psychologique et puis voilà, liée aux problèmes d’accessibilité.
C’est toucher vraiment tous les acteurs et toucher toutes les personnes qui sont en situation d’exclusion, pour la plupart touchées vraiment tous les profils. Mais on y arrive. On arrive à avoir de plus en plus d’acteurs qui sont sur tout, sur cette pluralité-là et que ça passe à la fois par le site web, par de l’écoconception, par de l’accessibilité au niveau des sites internet et ça passe par de la formation, de l’accompagnement par du prêt d’équipement.
C’est vraiment là essayer de toucher toute cette pluralité que touche aujourd’hui le numérique. C’est, je pense, vraiment le plus gros challenge qu’on a aujourd’hui.
Qu’est-ce que cet objet vous évoque comme souvenir ?
Je suis prête, j’ai un peu peur, mais je… Ah oui, vous sortez le. Merci, ça m’évoque ma grand-mère. Moi, je n’ai jamais connu le Minitel, mais ça m’évoque des souvenirs de mes parents qui me racontaient, qui me disaient “Ouais, tu sais, à l’époque. Eh, ben, on faisait ça sur le Minitel, on s’envoyait des messages sur le Minitel”. C’est de la nostalgie, je dirai que ça m’évoque. C’est vraiment de la nostalgie.
Et, c’est drôle de voir comment on a évolué et voilà, aujourd’hui, voilà nos PC à quoi ressemble alors qu’avant, c’est des trucs comme ça. Ce n’était même pas un PC d’ailleurs. Mais, oui, je me souviens que ma sœur avait eu un PC et que c’était un truc énorme avec la grosse tour et que ça faisait du bruit, ça faisait de la chaleur et qu’aujourd’hui, on a des trucs très fins, super ergonomique.
Et, je me dis que si la nouveauté, ça a du bon, même si voilà, c’était, c’est cool d’avoir ça et ça rappelle un peu l’ancien temps avec ses vieilles prises aussi. Oui, je dirais nostalgie. Eh bien merci, je ne sais pas où vous avez trouvé ça, mais…
Parlez-nous de vous et de votre organisation ?
Alors moi, je m’appelle Malik MEZAIB. Je suis responsable du développement et des partenaires publics au sein d’une association qui s’appelle Vacances & Familles et dont l’objectif principal, c’est de donner accès aux vacances aux personnes, notamment aux familles qui en sont éloignées. Voilà donc après, dans le cadre de la journée d’aujourd’hui, je suis aussi chef de projet d’un projet d’envergure autour du numérique et de la digitalisation de notre association, notamment dans le cadre du projet France Relance auquel nous sommes lauréats.
Quel a été votre plus gros challenge lié à une situation concrète de numérique inclusif ?
Ah, c’est celui-là notamment ? Tout à fait. C’est d’actualité. C’est vrai que ce projet, il est vraiment d’envergure parce qu’il touche. On est sûr des parties prenantes variées, diverses à la fois en interne pour nos collaborateurs, avec l’amélioration de nos outils et notamment de nos moyens d’action, donc forcément aussi de notre activité vers les bénévoles en leur procurant des matériels numériques pour pouvoir aussi elle.
Donc, ces personnes, ces bénévoles, pouvoir aussi avoir accès au numérique, notamment la lutte contre la fracture numérique et en l’occurrence l’illectronisme. Et, enfin vers les bénéficiaires, en leur créant un espace personnel et aussi une application mobile qui va leur permettre, dans le cadre de notre accompagnement autour des vacances, de pouvoir, elles, pouvoir disposer d’informations de leurs projets, de leurs vacances.
Où est-ce qu’elles partent ? Qu’est-ce qu’elles peuvent trouver ? Mais aussi sur des informations plus généralistes dans l’accès au droit. Comment ? Quelles sont les démarches qu’elles peuvent avoir ? Donc, du coup, oui, c’est un challenge qui est immense parce que c’est vraiment un projet d’envergure. Nous sommes dessus depuis deux ans, avec ANEOL notamment, et voilà, c’est un défi de poids, mais très motivant. Bien sûr.
Qu’est-ce que cet objet vous évoque comme souvenir ?
3615. Oh, qu’est-ce que tout ça me rappelle ? Ma jeunesse déjà. Ah oui, le Minitel. Oui, le Minitel. Ce qui est bien, c’est que la France a été pionnière autour du numérique, autour de ces offres, autour de ces outils-là. Déjà, à l’époque, on commençait à avoir un peu la fracture avec ça. Parce que l’utilisation en plus, quand on… Retour. Je ne sais pas si vous avez déjà fait, pratiquer.
Mais oui. Non, mais je pense que c’était précurseur et de beaucoup parce que c’est dans les années 80, je crois, donc ça a plus de 40 ans. C’était en fait de bon augure, en fait. C’était une bonne initiative et qui était précurseur à ce niveau-là. Ah oui, c’est bizarre, vous en avez déjà un, vous savez que c’est devenu collector.
Vous le gardez ou on peut le prendre avec nous ? Super, c’est super, très bien. Écoutez, merci beaucoup, c’était parfait.
Quel message voulez-vous faire passer ?
Bonjour. On est très contents d’avoir pu participer à l’organisation de cet événement. L’atelier que l’on a porté, je pense qu’il y a assez en adéquation avec le message que l’on souhaitait faire passer. C’est que le numérique à aussi un impact sur la vie, les activités dans les associations et je pense qu’il est important de prendre en compte l’impact du numérique sur les associations, notamment au regard du bénévolat.
Quel a été votre plus gros challenge lié à une situation concrète de numérique inclusif ?
J’ai organisé toute une série d’ateliers sur cette thématique-là en essayant de réunir tout un tas de personnes à l’échelle de la région. C’est un gros challenge d’essayer de mettre autour de la table tout un tas de gens de publics différents, dans un contexte qui n’est pas forcément facile pour mobiliser. Voilà !
Qu’est-ce que cet objet vous évoque comme souvenir ?
Ah, j’adore ! C’est un Minitel. Moi, je pense que je suis dans la génération où je sais ce que c’est, mais je… Ouais si je me rappelle du bruit que ça faisait les touches, ça faisait un bruit monstrueux, c’était trop bien. Ouais, c’est surtout le bruit en fait. Le bruit des touches du Minitel. Après, je ne me rappelle plus trop. Je pense que j’étais trop jeune pour savoir.
C’est mon père qui s’en servait, en fait, pour rentrer, il était agriculteur du coup, pour rentrer des trucs qu’il avait fait avec son boulot, et cetera. Moi, je me rappelle que j’allais simplement marteler les touches. Voilà, ah, c’est chouette, c’est une super idée. Ce truc de l’objet-là. C’est trop drôle.
Ah ! Il y a le clavier dedans. Ah, j’adore ! Vous avez trouvé ça où ? Il marche encore ou pas ? Je n’ose pas tirer. Ah, j’adorais ça. Mais, ouais, c’est vrai que tu vois maintenant, on est au tactile, ça fait même plus de bruit. Ils sont obligés de rajouter des bruits sur l’iPhone.
Quel message voulez-vous faire passer ?
Je pense qu’on est venu dans une logique de faire passer le message que tous les territoires et tous les acteurs de chaque territoire ont la capacité de s’engager pour œuvrer dans n’importe quel champ de l’inclusion numérique. Je pense que c’était ça le principal message. Nous, on parle de beaucoup de leviers parce qu’on est un acteur historique sur la question.
On existe depuis dix ans, donc on travaille sur la connexion, l’équipement, les accompagnements aux usages. Je pense que l’idée, c’était vraiment, voilà, de faire passer ce message et de dire aussi sur un territoire comme celui de Saint-Étienne où on n’est pas implanté, qu’il y a d’autres possibilités de travailler ensemble que de s’implanter. Et, voilà. Et, d’essayer de recueillir aussi des avis.
Toujours nourrir la réflexion autour de ces sujets, pour nous aussi avancer pour que notre traitement de la problématique continue d’être pertinent et qu’on continue à travailler avec de nouveaux acteurs pour toucher de nouveaux publics et, voilà, renforcer notre action.
Quel a été votre plus gros challenge lié à une situation concrète de numérique inclusif ?
Alors, très personnellement, un challenge. Moi, dans ma position, il y en a eu plein. Ça a été d’organiser une grosse distribution, l’année dernière, de 300 équipements auprès de 300 jeunes, c’est une mission sur laquelle, pour laquelle j’ai dû travailler assez longtemps et qui a réussi. Moi, c’était le challenge plutôt dans mon travail. Cette distribution ça a été, en termes de temps, de mobilisation de bénévoles, de mobilisation de structures, de mobilisation de financements.
C’était vraiment un challenge hyper intéressant et assez fou. Surtout que moi, je suis arrivé sur la thématique il y a un an. Donc, ça fait un an que je suis chez Emmaüs Connect et vraiment de commencer par ça. Ça m’a mis vraiment dedans. Et, aujourd’hui, du coup, je suis prête à relever pas mal d’autres challenges. Donc voilà.
Qu’est-ce que cet objet vous évoque comme souvenir ?
Wouah ok. Alors, je vois que c’est un Minitel.
Oula oui, il y a le clavier d’ailleurs qu’on peut voir. Alors moi, je ne fais pas partie de la génération Minitel. En-tout-cas, c’était plutôt la génération de mes parents. Ça m’évoque qu’on a fait du chemin depuis. Je vois que vous avec un petit téléphone. Voilà, je pense qu’on peut le voir. Et puis, nos ordinateurs, aujourd’hui, n’ont rien à voir.
Ce qu’il faut aussi savoir, c’est que le Minitel, je crois, c’était un outil justement pour faire des consultations, voir certaines démarches. Je ne sais pas si c’étaient les premiers ordinateurs ou le Minitel, l’annuaire, et cetera. Je pense que finalement, c’était peut-être le premier outil pour peut-être une plus grande inclusion, aussi. C’est un outil qui a réellement été pensé pour un usage assez conscient à la base.
Je pense que c’est le même challenge pour le Minitel que pour nos outils d’aujourd’hui. Il y a un clavier, je veux dire, la forme n’a pas beaucoup changé, un écran, un clavier, mais je pense que du coup, c’est hyper… C’est assez fou de voir le chemin qu’on a parcouru depuis ça et ça m’interroge aussi sûr qu’est-ce qui va se passer ensuite ?
Parce qu’il y a ça, maintenant, il y a des petits téléphones. C’est à la fois hyper excitant et hyper flippant. Je crois que c’est le début des années… Je ne saurais même pas dire à quelle période le Minitel a été inventé et mis sur le marché. Mais ouais, c’est important, je pense, de garder cette logique de… Ce n’est pas juste excitant. C’est aussi un peu flippant.
C’est comme la conquête spatiale, la recherche pour repousser la mort et tout. Je ne rentre pas dans le détail. Mais c’est des choses sur lesquelles des fois, on se dit qu’il faudrait peut-être lever un peu le pied. Parce que voilà, l’idée, c’est aussi de ne pas laisser des gens sur le bord de la route. Quand on invente ces nouvelles, ces nouveaux outils.
Et, c’est ça pour moi l’inclusion numérique.
Quel message voulez-vous faire passer ?
Bonjour, alors en co-organisant cette journée, on voulait faire passer le message. D’abord que la fracture numérique, c’est un vrai sujet et une réalité qui se doit d’être mis au goût du jour. Qu’il y ait énormément de solutions qui existent. Elles sont souvent trop méconnues, donc c’est important de faire passer ce message auprès du plus grand nombre et notamment des acteurs du milieu du numérique.
Quel a été votre plus gros challenge lié à une situation concrète de numérique inclusif ?
Je pourrais répondre à cette question en partant d’un cas d’usage. On traite pas mal nous dans notre activité avec des personnes éloignées de l’emploi qui connaissent de réels freins liés au numérique pour l’accès à l’emploi. Typiquement, j’ai reçu une personne qui trouvait ça compliqué de multiplier les candidatures à des emplois professionnels et en fait, en discutant avec elle, on s’est rendu compte qu’elle les écrivait toutes à la main les lettres de motivation. Et donc de ce fait-là, on s’est rendu compte qu’il y avait un manquement à l’usage du numérique, ne serait ce que pour dupliquer les candidatures, faciliter l’accès à l’emploi. C’est un exemple parmi tant d’autres. Sinon, on peut aussi simplement parler de la partie matérielle. Beaucoup de personnes, aujourd’hui, n’ont pas accès au numérique parce qu’ils n’ont pas de matériel informatique ou n’ont pas accès à Internet. Ça devrait quasiment être un droit au vu du tout numérique qu’on connaît en France.
Qu’est-ce que cet objet vous évoque comme souvenir ?
Allez, question surprise. Ouuuulala. Je crois que je n’étais même pas née quand on utilisait ça. Je vois que c’est un Minitel. Est-ce que j’ai une anecdote ? Non, je ne pense pas, hormis que la seule fois où j’ai vu quelque chose comme ça, c’était chez mes grands-parents. Non, je ne serais même pas quoi dire par rapport à ça. C’est l’ancêtre de l’ordinateur. Voilà, on a bien évolué depuis.
Parlez-nous de vous et de votre organisation ?
Dans ma structure, je représente un mouvement politique qui s’appelle l’Alliance Centriste, qui est très engagée dans tout le travail de réflexion sur l’inclusion numérique et un parti mouvement qui est représenté sur l’ensemble du territoire, donc c’est une expérience. De plus, une expérience personnelle et professionnelle autour de mes fonctions précédentes en tant que Directeur de cabinet dans plusieurs collectivités et une bonne connaissance du territoire de la Loire.
Quel a été votre plus gros challenge lié à une situation concrète de numérique inclusif ?
Il y a en fait, je pense que ce n’est pas un challenge personnel, c’est un constat, on va dire. Un constat que finalement, il y a beaucoup plus de gens qu’on ne croit qui sont éloignés, même si le terme n’est pas forcément approprié. Ils sont loin de cette inclusion numérique pour différentes raisons, à la fois des problèmes matériels, des problèmes financiers, des problèmes économiques et des problèmes d’approche, tout simplement.
Dans l’atelier de ce matin, je disais qu’on oublie qu’il y a une partie de la population. En fait, on parle de numérique depuis une vingtaine d’années et des générations de 60 ans ou plus ne se sont jamais adaptées puisqu’on n’a pas fait de pédagogie pour qu’ils s’adaptent. Et donc, du coup, leur demande d’accéder au numérique et au digital sans même avoir été préformé. Du coup, il y a automatiquement un obstacle et c’est dommage parce que ça fait des publics qui passent à côté.
Qu’est-ce que cet objet vous évoque comme souvenir ?
Oh le Minitel. J’ai connu. Ça me rappelle mes jeunes années quand on avait un Minitel à la maison et qui coûtait très cher sur les factures de téléphone de nos parents. Mais on n’y avait pas accès. On avait accès uniquement pour les adresses de téléphone, on ne jouait pas avec, ce n’était pas… Ça coûtait trop cher et c’était surtout… Alors, ce qui est lié au Minitel, c’est le bruit, ça sifflait.
Donc la connexion se faisait, il y avait un sifflement. Donc, voilà, c’est ça que ça rappelle le Minitel, mais c’est l’ancêtre du digital d’aujourd’hui. Donc c’est à garder précieusement. Merci.
Parlez-nous de vous et de votre organisation ?
Oui, alors je travaille pour le Comité Régional Olympique et Sportif, communément le CROS Auvergne-Rhône-Alpes, qui est basé à Lyon pour le coup. Donc il y a une antenne dans chaque région. Et puis la tête de réseau au niveau national, c’est le CNOSF, le Comité National Olympique. Pour faire court, notre rôle, c’est d’accompagner les structures associatives dans le sport sur le territoire hors alpin.
Donc, on accompagne les clubs, les ligues, les comités dans leur gestion associative. On a un organisme de formation qui est là pour les accompagner sur diverses thématiques, pour mener à bien leur mission. Pour ma part, j’ai la casquette de formateur et d’accompagnateur.
Quel a été votre plus gros challenge lié à une situation concrète de numérique inclusif ?
Mon plus gros challenge, c’est avec l’exemple d’une formation que j’étais chargé d’animer et où je devais justement gérer un mode hybride avec des personnes qui étaient en présentiel, d’autres en distanciel. Donc toute la difficulté, c’est de ne pas exclure les uns ou les autres, de bien inclure tout le monde et de ne pas de laissés-pour-compte. Donc la difficulté, c’était justement de… À la fois, se tourner vers les personnes qui étaient en présentiel pour leur assurer la formation qu’elles étaient venues chercher.
Sans oublier les personnes en distanciel qui ne vivent pas la même expérience. Et donc il ne faut pas oublier et donc, le plus difficile, c’était le challenge de faire le lien entre les deux justement. En tant que formateur, on arrivait aussi bien à gérer les uns et les autres. Mais le but, c’est aussi de faire les liens entre les différents stagiaires.
Qu’est-ce que cet objet vous évoque comme souvenir ?
Je suis prêt. Alors il me semble que ça a l’air d’être un vieux poste de Minitel ou de type d’appareil qu’on utilisait pour surfer à l’époque sur Internet, j’ai envie de dire. Mais ça remonte à un petit moment quand même et j’espère ne pas m’être trompé. Mais oui, ça m’évoque que… Je n’ai pas forcément connu, j’avoue. Ce n’est pas de ma génération, mais j’en ai entendu parler et on m’en a dit du bien.
En-tout-cas, à l’époque, ça avait l’air de bien marcher. Aujourd’hui, je ne sais pas encore si ça, si ça sert à beaucoup. Donc oui, ça rappelle des souvenirs, mais j’avoue que… Mais c’est bien d’avoir des vestiges comme ça. Ça doit… Pour les collections, ça doit être sympa. Super. Merci à vous.
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